Thorry McVeil (Twigg)

Nom: McVeil
Prénom: Thorry
Surnom : Twigg / L'enragé / Mc Bloody
Age: 35
Sexe: Masculin
Race: Humain
Classe : Combattant
Point de vie : 11

Mince et nerveux, Twigg ne possède pas une once de gras malgré sa taille dépassant les six pieds. Il ressemble a un vrai squelette, et même les vêtements amples qu'il porte ne suffisent pas a cacher sa maigreur. Sa mince taille cache toutefois une force et une résilience surprenantes, qui se révèlent toujours déstabilisantes. Son visage aux pommettes hautes est couvert de cicatrices variées et une plaque de métal est encastré dans l'orifice où se trouverais normalement son œil gauche. Une balafre plus profonde traverse d'ailleurs cette zone, laissant peu de doute quand à ce qui pourrait avoir causé cette perte...

Ce ne sont toutefois pas ses seules cicatrices : son torse est zébré d'anciennes blessures et sur son visage ses rides prématurées se confondent avec les marques de ses batailles passées. Trois tatouages décorent sa peau, tous maintenant a peine reconnaissables à cause des innombrables marques les traversants: L'un, recouvrant son épaule droite, représente une pleine lune entourée de nuage. Le symbole des Whites lances est fièrement apposé sur son poignet gauche et un motif tribal déformé par une morsure décore son mollet gauche. Ses cheveux noirs striés de blanc à cause de ses nombreuses blessures à la tête sont toujours ramenés vers l'arrière, finissant par tomber devant son visage de manière indisciplinés. Son œil restant, à l'iris presque noir, semble toujours en train d'observer tout ce qui se trouve autours de lui. Tout chez Twigg dénonce qu'il est un combattant expérimenté, de son habillement jusqu'à sa démarche presque féline. Il porte généralement son vieux trench-coat de cuir noir et raidi, qui lui donne l'aspect d'un épouvantail mais sur lequel est encore fièrement brodé l'emblème des White lance. Lors de ses patrouilles et de ses expéditions on peut le voir perché sur son impressionnante moto-jet, un pistolet à la ceinture et une épée bâtarde fixée sur son dos.  

Les mains de Twigg ont été, depuis peu, remplacées par des implants cybernétiques de très haute qualité. Sa propre peau recouvre les pièces mécaniques, il est donc presque impossible de distinguer le changement. Le tatouage de sa compagnie à son poignet est maintenant tellement déformé qu'il est presque méconnaissable et sa poigne semble beaucoup plus froide qu'auparavant.

Twig est un homme taciturne, et rigide. Légèrement paranoïaque, il est extrêmement possessif et se montre toujours méfiant envers ceux qu'il ne connaît pas. Oscillant toujours d'une émotion a l'autre, il doit être pris avec des pincettes sous peine de devoir subir une saute d'humeur. Incroyablement borné, il a un sens de l'honneur extrêmement strict, et si son attitude est parfois agaçante sa conduite, elle, est irréprochable. Sa langue est souvent plus rapide que sa tête, et il n'est pas rare de se faire couvrir d'insulte par le militaire tout en recevant son aide. Ajoutez a cela un humour douteux, une préférence marquée pour le sarcasme et les manières d'un soldat rompu au commandement et vous obtenez le gros de la mentalité de Twigg.

Caractéristique
Force : 5
Dextérité : 5
Constitution : 1
Intelligence : 3
Charisme : 3

Compétence
Force : Course (1) / Combat armé (Lames) (5) / Combat à main nue (4)
Dextérité : Acrobatie (5) / Conduite (5) / Combat Armé - Primitif (1)
Constitution: Résistance à la douleur (5) / Infatigable (1)
Intelligence : Survie (3), langue connue (Anglais/Français/Allemand)
Charisme : Intimidation (4)

Historique
Ressource (3) (Moto-jet et quelques armes de bonne qualité)
Notoriété (1) (Côté "berserk" souvent vu en action durant les combats. Vétéran des White Lances)

Liste des points Dépensés :

-Parlez-moi encore de votre enfance... de vos parents, de vos frères et sœurs

Le Psychologue avait croisée sa jambe et tenait son carnet de note prêt à être utilisé. Il savait avoir bien préparé le terrain cette fois-ci. Cela faisait presque une heure qu'il le cuisinait et il était certain que son patient allait passer à table.

-Pas grand chose à dire que je ne vous ai pas déjà dit!

Avec un soupir, le vieil homme reposa son crayon. Après un mois de thérapie sans progrès il n'y avait que deux conclusions possibles: soit il était en présence de quelqu'un qui aurait préféré être n'importe où sauf dans son bureau, soit il devait remettre en question ses talents de psychologue. Mais il n'allait pas le laisser filer comme ça...  

-Essayez quand même. Vous m'avez parlé de votre mère, de votre père... mais vous passez toujours très rapidement à un autre sujet quand viens le temps de parler de votre frère...

-Et aujourd'hui non plus je ne souhaite pas en parler.

La voix était sèche, sans possibilité d'argumentation. À un point tel que le psychologue dut rassembler tout son courage pour ne pas laisser tomber le sujet.

-Pourquoi?

-Je vous l'ai déjà dit au moins trois fois! J'ai enduré beaucoup de choses dans ma vie, mais mon esprit n'est pas aussi résilient que mon corps... J'ai des cicatrices là-dedans aussi... et certains souvenir forment des plaies à vif qui ne se sont toujours pas refermées.

-Comme celui de votre frère?

-Comme celui de mon frère.

C'était intéressant. Jamais encore il n'avait sentit son client dans cet état... à force de se répéter il finissait pas inclure d'intéressantes variante dans ses propos. Peut-être qu'il avait mieux réussit son coup qu'il ne le pensait...

-Et... J'imagine que la douleur que vous cause ce souvenir est du en grande partie aux circonstances de sa mort...

-Forcément! C'était mon premier combat mais lui n'en était pas à sa première charge. Il comptait sur moi... il comptait sur moi pour défendre le flanc gauche. Il en a payé le prix.

-Vous devez arrêter de vous culpabiliser. Votre frère aurait été fier de vos actions: ce n'est sans doute pas pour rien qu'on vous a remis une médaille ce jour là...

-Au diable la médaille... Si j'en était fier je la porterais, non?

Son client avait désigné d'un brusque geste de sa main décharnée le col de son vieux trench-coat de cuir. Le vêtement avait été déchiré, recousus et réparé un nombre si incalculable de fois qu'il ne restait probablement plus une seule pièce du manteau d'origine. Médaille ou pas, la vie semblait avoir prélevé prématurément un prix bien lourd sur le White Lance. Le psychologue arrêta son examen: en une fraction de seconde son client avait remarqué qu'il l'observait et il dardait à présent son oeil noir sur lui. Il devait pousser son avantage... ne pas laisser la brèche se refermer.

-Vous n'en êtes pas fier? c'est pourtant un grand honneur de...

-Un grand honneur!?! Les médailles ne sont qu'un morceau de métal. Elles n'effacent pas le sang. Elles n'effacent pas les actes. Vous n'avez pas entendu le surnom que j'ai gagné en même temps que cette médaille!?!

-c'est à dire...

Son client s'était levé. Lentement mais sans avertissement. De toute sa hauteur, le squelettique vétéran planta son œil noir dans ceux du psychiatre. Ses rides prématurées se mélangeaient à ses cicatrices dans un fatras de lignes blanches et grises, rendant son expression faciale indéchiffrable. Il parla lentement, appuyant sur chacun de ses mots comme s'il voulait faire comprendre à son interlocuteur qu'il s'était aventuré trop loin.

-Quel est le surnom que j'ai gagné ce jour là?

Le vieil homme déglutit avec peine, et finit par articuler, avec peine.

-L'enragé...

Son patient se rassit sur le fauteuil, sans toutefois se rallonger. Bien qu'il avait obtenus ce qu'il voulait, entendre ce sobriquet paraissait lui faire un effet toujours aussi désagréable. Il y eu un long temps, puis :

-J'imagine que c'est pour ça que je suis ici, non? à cause de ce surnom... à cause du dernier... accident.

Les stratégies et les discours subtils ne servaient plus à rien. S'il voulait obtenir quoi que ce soit de son client il lui fallait tout lui dire. C'était le moment de jouer carte sur table.

-Oui... c'est exact.

-Ils veulent savoir si... ça va se reproduire?

-Oui.

-Ils veulent savoir si je suis apte à retourner en service?

-Oui

Le soldat prit un moment pour digérer cette information, ce qui était normal. Il s'était sans doute attendu à un examen de routine, le genre de test que tout les blessés grave passent en sortant de leur convalescence. Il parla beaucoup plus tôt qu'il ne s'y était attendu.

-Je dois... m'ouvrir à vous? tout vous raconter?

-Ce serait préférable, oui.

-Docteur... Ma vie avec les White Lances, c'est tout ce qu'il me reste. Malgré mon... problème, cela reste ma seule famille, ma seule vocation.

-C'est précisément pour ça que je suis là, Thorry... pour vous aider à ce que cette vie puisse continuer. Mais pour que je puisse vous aider vous devez cesser de me résister. vous devez tout me dire.

Son client passa nerveusement sa main couverte de cicatrices sur son visage tout aussi balafré. Il la garda un moment sur son œil injecté de sang avant de la retirer et de la laisser tomber mollement à côté de lui.

-Je... Je tiens à dire que je vais probablement avoir beaucoup de difficulté à parler de certaines choses. Elles sont.. difficile à expliquer.

-Prenez votre temps. Si certaines choses son trop obscures ou abstraites, contentez-vous de me les décrire du mieux que vous pouvez.

-Donc... on doit sans doute commencer par le début non ? c'est ce qu'il y a de plus logique à faire.

Le psychologue se cala confortablement dans son fauteuil, adoptant une posture d'écoute totale pour bien signifier à son client qu'il avait toute son attention.

-Eh bien commençons par le point que vous vouliez aborder! Mes parents... eh bien... ils étaient normaux. Mais déjà qu'ils n'étaient pas d'accord avec le fait que mon grand frère ait rejoint l'armée (Ça avait déjà causé pas mal de friction), disons que leur cœurs ont faillit lâcher quand je leur ai annoncé que je voulais entrer à l'académie militaire. Au final ils n'ont pas fait grand chose... pas qu'il pouvait y faire quoi que ce soit de toute façon. Ma décision était prise. Je n'ai plus eu beaucoup de contact avec eux depuis. J'ai suivi les traces de mon grand frère et j'ai finalement rejoint les rangs de la deuxième compagnie des White lances. S'il y a bien un moment dans ma vie où je crois avoir été heureux, c'est sans aucun doute quand j'ai reçus mon uniforme lors de la cérémonie d'introduction. J'étais si fier.

Les années qui suivirent ne racontent pas grand chose en sois. J'étais en formation: je me comportais en petit soldat modèle, remplis d'illusion. Mon grand frère me maternait trop, j'en ai pleinement conscience à présent... mais je ne m'en rendait pas compte. J'ai appris tout ce que je pouvais apprendre de lui et de mes mentors: comment tenir une épée, comment contrôler une moto-jet. J'étais le meilleur de ma cohorte dans bien des domaines.

Aucune fierté ou vantardise ne transparaissait... Le soldat n'avait fait qu'énoncer un point, tout simplement. C'était très intéressant...

Une semaine a peine après que j’eus officiellement terminé l'entrainement j'ai été propulsé dans ma première bataille. Je ressentais un mélange d'excitation et de peur, mais je me souvient que l'excitation avait rapidement chassé la peur lorsque je suis embarqué sur ma motojet aux côtés de mon frère et de cinquante autre White lance. Que pouvait-il m'arriver? Nous partions simplement en mission de reconnaissance: Une petite communauté avait signalé un groupe anormalement large de mutants rodant autours de leurs palissades. La Dark Side aurait dut s'en charger, mais le temps pressait... et nous n'avions aucune information concernant le nombre des mutants ou leurs intentions, les White lance étaient donc le meilleur choix au cas où il fallait défendre les colons. Nous pouvions être sur les lieux en moins de deux heures et rapidement prendre des mesures si cela s'avérait nécessaire... c'était encore trop long, mais c'était mieux que ce que n'importe quelle autre compagnie aurait put faire.

Quand nous sommes arrivés, une épaisse fumée s'élevait de la communauté. Ça sentait la chair grillée, même à travers mon casque. Même de loin ce n'était pas quelque chose de beau à voir... c'est peut-être la raison qui a poussé mon frère à sonner la charge trop rapidement. Nous avons poussés nos motojet à la suite de la sienne, nous engouffrant dans la ville sans penser aux procédures habituelles. Après avoir tout saccagé les mutants s'étaient occupés à tout désacraliser: ils avaient pendu des cadavres mutilés, en avaient empalé d'autres... je me souvient d'un villageois qui avait été attaché à un poteau en plein milieu d'un brasier et qui criait encore quand nous sommes arrivés. Tout le monde était tellement occupé à regarder le carnage que nous n'avons pas levé les yeux vers les toits.

Ce fut un massacre...

Les mutants devaient avoir torturés certains habitants, et avaient appris que nous venions. Ils avaient très bien préparé le terrain. On ne voyait presque rien à cause de la fumée, les ruelles étaient petites et tordues, les grands espaces encombrés et des cordes tendues entre les bâtiments désarçonnaient ceux qui avaient la malchance de ne pas les voir. Il n'y eu pas de deuxième charge, pas replis, pas de contre attaque. Nous étions piégés au centre d'une embuscade qui se refermait lentement sur nous.

J'ai été désarçonné plus tard que les autres... Il aurait été plus sage de mettre pieds à terre tout de suite, mais les mutants étaient tellement nombreux qu'on aurait été réduit en pièce immédiatement. J'ai manœuvré aussi bien que je le pouvais au milieu de ce piège à rat, mais une corde a finit par me percuter de plein fouet. Malgré mon armure de combat, je peux vous garantir qu'une simple corde peut faire beaucoup plus mal qu'on le pense, à la vitesse à laquelle nous allions. J'ai dégainé mon épée et j'ai commencé à me défendre. Les White lances encore en vie, moins de la moitié de la compagnie, essayaient de former une ligne de défense. Nous y parvinrent... a peu près. Je me souviens encore parfaitement du premier mutant que j'ai tué ce jour là: il avait un kyste qui lui bouffait la moitié du visage, et des morceaux de chair humaines encore pris entre ses dents.

On se battait avec l'énergie du désespoir, mon frère avait repris un contrôle approximatif de la situation, organisait la mêlée et avait réussis à lancer un appel à l'aide sur sa radio. Je défendais le flanc gauche, j'assumais une bonne partie de la défense mais bientôt je me suis retrouvé seul face à une véritable vague de mutants. J'ai fais de mon mieux jusqu'à...jusqu'à ce que mon frère... jusqu'à ce qu'il...

Il se mit à trembler. Le docteur s'avança, mais ne se permit qu'un léger geste de la main pour ne pas interrompre le fil des pensées de son client.

-Prenez votre temps, organisez vos pensées..."

si seulement c'était si simple. La pause dura longtemps. Aucune émotion ne teintait sa voix lorsqu'il poursuivit.

-Il n'est pas mort rapidement, docteur... Deux ou trois mutants me sont passés sur le corps et l'un d'entre eux a courut jusqu'à lui. Ce mutant avait une sorte de... de bras pointu. Comme une lance. Il l'a transpercé en plein ventre. Ensuite il a... il a prit mon frère et est allé l'empaler sur un mur avec sa propre épée. Au même moment, j'ai reçus un coup sur la tête. Ma vision était troublée, j'avais du sang qui me coulait dans les yeux... mais je ne parvenais pas à détacher mes yeux de ce qu'ils avaient fait à mon frère. J'ai vu une lame s'approcher du coin de l'œil et... et...

Après, plus rien. Seulement des images floues, des sensations...   Je me souviens vaguement avoir quitté ce qui restait des rangs, foncé dans le tas. Je me souviens vaguement de ce mutant avec des serres à la place des mains qui m'a arraché l'œil et que j'ai presque coupé en deux. Je me souviens vaguement de la douleur et en même temps de ce sentiment de puissance... Je me souviens vaguement avoir voulu continuer d'avancer et de me battre même alors qu'aucun de mes membres ne répondait plus à mes directives. Je me souviens vaguement de la grande noirceur qui m'est tombé devant l’œil à ce moment là...

Ce dont je me souviens parfaitement, en revanche, c'est mon réveil.

Je ne pouvais plus bouger, j'avais du mal à respirer. J'avais des bandages partout, j'avais mal. Je ne pouvais qu'entrouvrir un œil, et même là...  il y avait un homme en costume à côté de moi. Il a commencé à me parler, à m'expliquer que j'avais créé une brèche suffisante pour que les White lance survivants aillent se réfugier dans un bâtiment en attendant les renforts. Ils étaient encore une vingtaine de survivants quand les Arch-Angels sont venus nettoyer... Ils m'ont trouvé au milieu d'une pile de cadavres, couverts de sang, de blessures, presque nu tellement mon armure avait reçus de coups. J'avais de la chair entre les dents et sous les ongles... mais ça il ne me l'a pas dit. Je ne voulais pas le savoir et lui non plus. Une seule chose m'intéressait et il le savait. Il me présenta ses condoléances, m'assura que la dépouille de mon frère avait été traitée avec honneur, mais qu'ils l'avaient déjà enterré. Ils avaient attendu quelques semaines que je me réveille, puis avaient dut procéder. Je ne leur en veux pas, c'est tout a fait normal... mais... j'aurais aimé avoir un autre souvenir de lui que celui que les mutants m'avaient laissés.

Un silence de mort suivit. Le psychologue disposa secrètement son crayon et une feuille à proximité. Il aurait été impolis d'écrire pendant que son client parlait ainsi à cœur ouvert, mais il ne tenait pas à perdre un seul détail de cet aveu. Il s'éclaircit la gorge, signifiant à l'homme qu'il devait briser le silence.

-C'était le premier accident?

-Le premier oui... et malheureusement je crois que j'ai plus que mérité le sobriquet dont on m'a affublé. En 15 ans j'en ai vu des batailles... et elles n'ont pas toutes étés glorieuses. J'essaie toujours de garder le contrôle, mais parfois cette... cette crise est trop forte pour que je puisse la contenir.

-C'est ce qui s'est passé il y a cinq mois?

Le silence revint, teinté de gêne cette fois.

-Je les avais avertis... Je leur ai montré mes papiers. Ils n'ont rien voulus savoir.

-Je ne suis pas là pour vous accuser, simplement pour comprendre. Vous n'avez pas étés trainé en cours martiale, j'en déduis que la situation n'est pas aussi sombre qu'il n'y parait.

-Docteur, j'ai littéralement démembré un de ces agents de l'inquisition, presque décapité l'autre et j'ai tellement frappé le visage du dernier qu'il a fallut faire appel à un test ADN pour l'identifier.

-Mais vous avez été poignardé, votre bras était disloqué et on vous a tiré dessus à de multiple reprises à bout portant. La caméra de surveillance qui a capté l'incident atteste que vous avez fait tout ce qu'un être raisonnable aurait fait compte tenu des circonstances, que vous vous êtes défendus, tout simplement. Violemment certes, mais en tout honneur.

L'homme ne répondit que par un lourd soupir. Il avait très bien senti le verni du discours tout prêt, et il sentait la délicatesse que son combat avait relevé. Par chance, personne d'autre que les officiels n'avaient eu accès à cette vidéo. Le psychologue hésitât un moment, puis se leva de son siège.

-On a finit pour aujourd'hui. Je veux vous revoir et avoir régulièrement de vos nouvelles. D'ici là, tentez de reprendre du poil de la bête! vous avez une mine à faire peur.

L'ombre d'un sourire plana un instant sur les lèvres minces de l'homme, puis il se leva et passa la porte sans un regard derrière lui.

En cours :

Naufrage dans la mer de Sable:

Le rat dans la souricière (souk):

Le retours des Balafrés:

Terminé:

Plan de guerre (souk):

Court court petit malin, le loup méchant s'en vient (le souk):

Docteur dites-moi tout... Je pourrais encore jouer du violon? (le Souk):

Derrière le fer et les lances (L'AMCD):

De Sang Et D'Écailles (L'AMCD):

La tournée des Bars (le souk):

Tiens, qu'est-ce que c'est que ça? (le souk):

Au Sorti des brumes (quartier résidentiel) :

Appater le bon Poisson (Avant poste):

Une Lance Brisée Répond à L'Appel (Académie Militaire):

Militaire un jour, Militaire toujours (Académie Militaire):

Nounou McVeil:

Les Squelettes du placard (quartier résidentiel):

Personnage validé Bon retour parmi nous après une longue absence

Merci beaucoup! J'entends bien reste actif plus longtemps cette fois!

50 Post! tu peux ajouter 10 pex simplement m'indiquer le smodification avec calcul et résultat de préférence de couleur

J'ai ajouté 1 point en constitution, 1 point en charisme, 1 point en conduite et 2 points dans "résistance à la douleur". pour un total de 10 points

100 posts d'atteints. Tu as donc 10 pex à investir. Merci de préciser les modifications apportées.

j'ai ajouté 3 points à "intimidation", 2 à "résistance à la douleur". pour un total de 10 points.

150 post d'atteints! Tu as 10 pex à investir. Merci d'indiquer les modifications.

ok! alors, 4 points pour résistance à la douleur (5), 2 points pour combat armé - primitif (1), 2 points pour combat à main nue (1), 1 point dans charisme et 1 point dans Constitution, pour un total de 10!

(p.s. : j'avais oublié de changé ma compétence conduite sur ma fiche à 5 (un de mes premiers achats de compétences...), c'est chose faite maintenant. juste pour avertir)

C'est compris et enregistré.

Je peux dépenser mes points pour le 200 posts?

Si c'est le cas j'ajoute 1 en intimidation, 3 en survie et 1 en combat à main nue. pour un total de 10 Xp.

Bien entendu. Désolé de mon oublis.

Aucun problème    Les modifications sont faites

Si cela ne pose pas de problème, j'ai ajouté les modifications à ma fiche pour mon 250e post. 5 xp, c'est bien ça?

Il n'y a pas de problèmes... Je suis infiniment désolé, mon lunatisme ne fait qu'empirer avec le temps. En effet, c'est 5 points. Merci d'indiquer les modifications.

Aucun problème. Les modifications sont indiqué au même endroit que d'habitude

300ième post d'atteint. Tu as 5 pex à investir. Merci d'indiquer les modifications.

Modifications faites et indiquée au même endroit que d'habitude
(+2 combat à main nue,+1 charisme)