Livraison de problèmes à domicile. [PV: Eva][18+:Sexualité]

Dm joueur Messages : 198 Date d'inscription : 25/11/2012

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... Délicatement, je la serre contre moi, les yeux clos. J'ai toujours trouver étrange de suer sous le jet d'eau d'une douche, mais je sens pourtant cette très fine couche recouvrir ma peau et la sienne... Ma tête appuyer contre la sienne, je reste ainsi en silence, enlacé sous l'eau chaude qui coule sur nos deux corps nus. Ça à été merveilleux, la plaie nous à empêcher d'être aussi passionné que mon désir me poussais à être, mais j'imagine que de combattre ces pulsions pour rester tendre et y aller doucement à ajouté au plaisir de la situation. Au final, ça avais été parfait. C'est que lorsqu'on retrouver quelque chose qu'on à perdu depuis longtemps qu'on se rend compte d'à quel point ça nous à manquer...

Malgré tout... La tête appuyé contre la sienne, les yeux clos, l'eau coulant sur nos corps... Elle est brûlante, mais elle me donne l'impression d'une pluie fraîche alors que tout mon être s’apaise à nouveau. Mon corps, plutôt. Car mon esprit, c'est autre chose. Je n'ai jamais parlé de ce sentiment après avoir fait l'amour... Se vide. Je n'ai jamais su mettre de mots dessus, et même si j'avais su comment, je n'en aurait pas parlé. C'est pas vraiment quelque chose qu'on partage. C'est trop étrange, alien. J'ai déjà essayer, mais je l'ai regretté. Viens toute les questions après; «T'a pas aimé?»«J'étais mauvaise?»«Si j'ai fait quelque chose de mal, pourquoi tu me l'a pas dis?». Elles comprennent pas. Hell, ils comprennent pas non plus. J'ai jamais rencontré quelqu'un qui se sens comme ça après, j'imagine qu'il y en à... Mais c'est quelque chose avec lequel on peut que dealer tout seul, je crois. J'ai essayer de le combattre, de le résonné, mais je me suis rendu compte que le seul réel moyen était de ne rien faire et de laisser aller jusqu'à ce que ça passe. Les yeux clos, les lèvres presser contre le front de mon amante, je laisse cette mélancolie, le blues, m'envahir.

Je sais que ça va passer, je sais que c'est temporaire, mais pendant les quelques minutes toutes les pensées resurgissent comme de vieille connaissance qu'on auraient préférer ne plus jamais rencontré. On se dis qu'on ne voudra plus jamais avoir de relation sexuelle, juste pour ne plus ressentir cette dépression temporaire qui nous pourris de l'intérieur, ce vide qui semble si agressif, qui te gruge les entrailles. Éventuellement, viens la colère, qui replace la tristesses, l'envie de tout foutre en l'air, de TE foutre entre l'air. Une sorte de rage désespéré qui nais de cette impuissance profonde. Bien entendu, sur mes traits, rien n'y parait. Je l'ai dis plus tôt, vous vous souvenez? c'est quelque chose avec lequel au deal seul, car il n'y a aucun remède. Ça passe, après quelque minute, et tu n'y pense plus jusqu'à la prochaine relation. Ce sentiment de touché le ciel pour frôlé l'enfer quelque seconde plus tard. Je me suis souvent dis que c'était probablement la damnation de ceux qui prenne trop de plaisir dans cette acte impie des plaisirs tabou qui ne devrait être réserver qu'à la procréation...

Délicatement, je relève son menton et lui souris légèrement. Mon sourire sonne faux pour moi même, mais je c'est qu'il à pourtant l'air vrai. On apprend rapidement à porté un masque dans ses moments, si on ne veut pas ruiner chaque relation qu'on à. J'embrasse le bout de son nez, puis ses lèvres. Un simple effleurement, délicat et bref. Un «merci» mieux exprimer que par les mots. Je caresse sa joue alors que je m'éloigne légèrement à nouveau, se bref sourire toujours flottant sur les lèvres alors que mes yeux se perdre dans les siens.

-Je n'avais pas réalisé à quel point j'étais seul avant de te rencontré... Mais maintenant que je tu m'a trouvé, je me sens complet...

Je ferme les yeux, mon front contre le sien et soupire longuement, expirant un de ce mal qui me ronge. Malgré tout, c'est dans ces moments je trouve plus facilement les mots, dans ces moments que j'ai vraiment l'impression de parlé avec mon coeur. Les mots flottent sur mes lèvres un moment, mon coeur se serre. J'ai besoin de le dire, malgré que ma tête me dis que c'est une mauvaise idée... Un murmure m'échappe et il est trop tard pour le reprendre. Je me sens à la fois soulagé et amer d'avoir laisser les émotions prendre le contrôle...

-... Je t'aime Eva...

Ses deux mains sur ses épaules elle s'appuie pour garder l'équilibre. Sa respiration devient peu à peu plus régulière et ses esprits reviennent tranquillement. Le temps passe si lentement dans ses bras que l'on jurerai qu'il s'est arrêté.

La médic a savourer le moment d'une seconde à l'autre. La seule chose qui l'avait ramener à la réalité était sa blessure et chaque fois qu'elle avait traversé Eva tel une éclair le nom de Michael était revenue à la charge dans sa tête.. Mais si tôt arrivé, si tôt elle était partie.

L'avoir en elle, le sentir se perdre en elle l'avait finalement complété. Pour la première fois de sa vie elle se sentait vivante, présente mais surtout réelle.

Elle resta ainsi, près de lui, laissant l'eau couler tranquillement sur leur corps bouillants. Son souffle se mélangeant au sien. Elle restait attentive et ressentie le changement d'atmosphère rapidement. Eva avait l'habitude de travailler avec les émotions négatives et mauvaises et savaient quand parler et quand laisser le silence.

C'était l'un de ses moments. Celui où il valait mieux ne rien dire et laisser passer. Attendre qu'il soit prêt. Quoi dire de toute façon qui n'envenimerait pas la situation?

Elle remarqua le faux du sourire et s'appliqua pour l'embrasser et tenter de lui faire oublier le mal qu'il tentait de dissimuler.

La suite la fit basculer dans une abyme, ces deux mots qui renversèrent la jeune femme. Pourquoi maintenant? et pourquoi les dires? Deux mots tranchants qui blessèrent le coeur de la médic. Elle baissa le regard et quelques larmes s’échappèrent de ses yeux. Elle souhaita intérieurement que celle-ci se mélange à l'eau de la douche et que rien n'y paraisse. La réalité lui revenait en pleine figure... Elle regarda son annulaire gauche et se mordit la lèvre... Dans l'AMCD elle enlevait toujours sa bague.

Elle serra un peu plus fort son étreinte.

-Alex.. je.. je ne me sens pas bien... Je me sens faible..

Elle n'avait que ça a dire pour "sauver" la situation.

Dm joueur Messages : 198 Date d'inscription : 25/11/2012

J'imagine que c'était prévisible. Tu ne peux que tout gâcher quand t'es dans cet état. Peu importe ce que tu dis, c'est nécessairement pas les bons mots. Je ferme les yeux un instant, puis, sans un mot, je coupe l'eau et entraîne la jeune femme vers le banc près de nos vêtements. Je prend une serviette et la dépose autour des épaules d'Eva avant d'en prendre une et commencer à me sécher. Je pourrais m'expliquer, je pourrais lui dire d'oublier ça, de ne pas s'en faire avec ces trois mots. Mais je ne le sens pas. Juste ouvrir la bouche semble un effort que je ne suis pas près à faire. Je ne peux la regarder plus que quelque seconde à la fois, et le sentiment que se serait probablement mieux de ne jamais la revoir commençait à germé au creux de ma tête. Ce serait mieux pour elle, plus facile pour moi. Je suis toxique...

Je me sèche vaguement avant de m'enroulé la serviette autour de la taille et me dirigé vers la porte, sans vraiment regarder la jeune femme, lançant simplement pars dessus mon épaule d'une voix difficile.

-Je reviens, se sera pas long....

Les mots semblait me rapper la gorge, et les énoncer au dessus d'un murmure semblait prendre un effort considérable. Je sors et referme la porte derrière moi pour me diriger vers mon labo, aller chercher des vêtements propres. Je m'habille rapidement et simplement. T-shirt, vieux jean et je prend des pantalons cargo simple et un t-shirt noir pour Eva. Le chandail vas être trop grand et elle devra rouler le bas des pantalons, mais ça devrais pas être trop mal somme toute. J'hésite un moment avant de remonté la rejoindre avec les vêtements... Appuyé contre la table d'opération qu'Anna à nettoyer pendant la nuit, j'essais de combattre l'envie... Pour perdre la bataille. Je fouille dans mes tiroir un instant pour trouver rapidement se ce que je cherche, malheureusement...

Je garde la seringue dans ma main un instant, essayant de me convaincre vainement que je vais être capable de la remettre dans le tiroir et sortir de cette pièce, retourner voir Eva, lui donner les vêtements pour ensuite l'aider à retourner au lit. Je pourrais aussi bien croire au licorne, aux anges et au petit lutins. J'enlève le capuchon de plastique de l'aiguille, regarde la seringue un instant, bref espoir encore...

Je remonte avec les vêtements de rechange pas plus que cinq minute plus tard, cognant deux coup léger sur la porte avant d'entrer. À par avoir peut-être pâlit légèrement, elle ne pourrait rien vraiment remarquer de différent. Le point rouge au creux de mon coude se perdait facilement à travers les nombreuse cicatrice et les drogues n'avait pas totalement le même effet sur moi que sur les humains en général. Je pose les vêtements propre près de la médic et m'assois à côté de ceux si sur le banc, de manière à ce qu'ils soient entre nous deux. Et j'attend, les mains croisé devant moi, les bras posé sur le genou, regardant le sol. Les épaules légèrement voûté, je commence à sentir l'héroïne qui fait effet et je ferme les yeux.

Elle était resté assise ainsi, le regard vide, la serviette encore sur ses épaules dans la brume qu'avait créer leur douche. Ces trois petits mots résonnaient encore dans sa tête et ce qui l'avait frapper aussi.

Comment aimer une personne alors que l'on ne s'aime pas du tout. Elle avait aimé de toute son âme et de tout son être Jason et jamais plus elle n'avait aimé de cette intensité. Jamais plus. Elle avait apprécié la présence de Van Hamir et elle appréciait énormément la présence de Michael mais jamais comme Jason et depuis la découverte des documents comportant son vrai nom quelque chose c'était brisé.

Et lui? L'aimerait-elle? Cet être si proche d'elle. Celui qui l'aiderait a vraiment s'aimer? L'aimerait-elle à sa juste valeur? Il l'aimait déjà d'amour et pourtant il n'avait pas l'air de l'homme qui s'amourache à rien.

Tranquillement elle se releva et s’épongea doucement tout en regardant son corps et attentivement sa nouvelle cicatrice. Elle l'effleura doucement et un vague frisson la parcouru. Cette balle ne l'avait pas tuer sur le champs pour lui permettre de le rencontrer.

Elle enroula la serviette autour d'elle comme pour faire une robe et retourna sur le banc, l'attendre. Les yeux toujours dans le vide, la brume se dissipant tranquillement dans la pièce et sa tête.

Lorsqu'il entra elle ne bougea pas et ne remarqua pas son changement d'état. Elle se releva et se campa face à lui. Patiemment elle attendit de croiser son regard et s'accrocha à celui-ci. La médic prit tout son courage et laissa tomber sa serviette sur le sol dévoilant toute sa nudité.

-Comment aimer une autre personne a sa juste valeur si on ne s'aime pas soit même.

De la parole au geste elle avait démontré des mains ce qu'elle était devenue.
Des larmes amères coulaient a présent sur ses joues et c'est la voix ponctuer de cette même amertume.

-Je suis un monstre, comment s'aimer?! Je ne pourrais jamais t'aimer comme tu le mérites Alex, ne te fais pas souffrir pour moi...

Elle empoigna rapidement les vêtements et tentait maladroitement de s'habiller avec son équilibre précaire.

Dm joueur Messages : 198 Date d'inscription : 25/11/2012

Je regarde ses pieds. Un peu trop longtemps. Deux petits pieds bien ordinaire, dix orteils et tout. Pas comme si j'avais une attirance particulière envers les pieds, ni même que j'ai honte de regarder plus haut. Nah. On dirait simplement que les informations commence à prendre du temps à ce glisser entre mes deux oreilles. Il y a des pieds devant moi, oui, mais ça me prend quelques secondes avant de grimper les yeux lentement jusqu'au visage de ma compagne. Des yeux que je commence à sentir flotter dans le vague. Probablement que les cernes sous ceux-si commence à se faire voir, ainsi que de petite ligne rouge veiner le blanc. J'ai les paupière lourde et sa commence à paraître un peu.

Je l'écoute un moment, sans rien dire, l'expression environs aussi vague que les yeux. J'ai l'impression que sa voix n'est qu'un murmure me glissant dans l'oreille pour venir rebondir en écho dans mon crâne et le sens de tout ces mots commence à prendre un moment à procéder. J'y arrive, j'ai de la pratique. Malgré que je trouve le temps vraiment long, je sais que du côté d'Eva, le délai ne l'est pas autant. J'ai simplement l'air un peu plus pensif qu'avant que j'aille chercher les vêtements.

Un monstre? Je ferme les yeux et secoue légèrement la tête en négation, un sourire sans humour au lèvres, je laisse glissé un bref «Ah» pas non plus vraiment amuser.

-Les monstres sont à l'intérieur. Et tu m'a déjà montré beaucoup plus d'amour que j'en mériterai jamais, Eva.

J'ouvre mes yeux à nouveau et les plantes dans les sien, me levant lentement face à elle. Je la laisse chasser son linge, sans trop savoir si je dois ou non l'aider, si j'en est envie ou non... Je me sens froid, distant, mon esprit dérive lentement... Mes clignement d'yeux se font plus fréquent, et trop long.

-Je t'es déjà dis que je te trouvais belle comme tu est. Et si tu pense que je couche avec toute les filles que je croise... La dernière était ma fiancée. Je t'es pas proposer en mariage Eva, je t'es dis que je t'aimais, et c'est toujours... Le cas... Tu peux faire ton choix... Si t'es prête à se qu'on essai de savoir si... Ça fonctionne nous deux... Ou non...

Mes yeux devienne définitivement trop lourd. Je me rassois sur le banc et laisse mon corps choir contre le mur derrière, les paupières close. Ma tête appuyer contre le mur froid, pencher vers l'arrière, je me sens partir lentement... Je sais que je ne resterai plus conscient bien longtemps... Je prononce les derniers mots dans un murmure à peine audible.

-... Pas besoin de tout compliquer ce qui peu être simple...

Eva croisa ses bras sur sa poitrine par dessus le chandail beaucoup trop grand pour elle. Elle protégeait métaphoriquement son coeur. Il avait brisé si souvent qu'elle craignait qu'il n'éclate encore. Pourquoi tant de complexité? "C'est toi qui provoque toute cette complexité miss panique" se dit-elle dans sa tête.

Elle se mordit la lèvre pour contenir l'explosion qui menaçait de sortir d'elle et elle regarda Alex. Son état n'était plus le même et elle le remarquait aisément.

-t'es pas bien Alex... t'es pas a jeun..

Eva soupira puis laissa tomber ses bras le long de son corps.

-C'est pas simple pour moi.. je.. suis en grosse remise en question et actuellement j'ai un compagnon de vie même si.. même si j'ai un gros doute a savoir si c'est le bon pour moi.. et toi tu débarques dans ma vie, tu la renverses totalement..

La jeune femme alla s'asseoir a ses côtés et lui prit la main.

-Jsais pu où j'en suis. Mais j'ai le sentiment que.. t'es pas juste de passage dans ma vie Alex...

Elle appuya sa tête contre son épaule.

-J'imagine que pour tes vérifications vaut mieux attendre?

Dm joueur Messages : 198 Date d'inscription : 25/11/2012

-...Non...

La réponse fut plutôt longue à venir. Non, j'étais pas a jeun, pas du tout. J'ouvre lentement les yeux, roulant la tête en direction d'Eva. Je suis toujours affalé contre le mur et simplement rester vaguement cohérent est tout qu'un effort.

-...Prend ton temps, y'a rien qui presse. Mais si tu doute de ta relation avec l'homme que t'es, elle est probablement pas assez solide pour ce que t'a besoin...

Elle appuie sa tête sur mon épaule et j'appuie ma tête sur sa tête. Je suis tiraillé entre mon esprit qui divague et mes sens qui me garde sur terre. Mes paupières retombent close, c'est mieux ainsi sinon le vertige me prend. Chacune de mes pensées mène à une autre qui parfois n'a que des liens très brumeuse avec la dernière. Elles rebondissent d'une à l'autre sans trop s'attarder, c'est dur de réfléchir de manière cohérente.

-Je pense pas être le bon pour toi, je pense pas être le bon pour personne, pas même moi même. Mais bon, on perd rien à essayer j'imagine... Bah... Ouain... Toi tu dois domper l'autre avant, mais bon... Comme j'te dis, y'a rien qui presse, je peux attendre...

J'aurais voulu dire que puisqu'on avait coucher ensemble, c'était déjà un bon pas dans cette direction, mais ça ne serais peut-être pas très sympa à dire. Pourtant, c'était vrai...

Eva poussa un énorme soupir. Elle s'imaginait le tableau et trouvait soudainement le tout étrangement pathétique. Allait-elle remettre toute sa vie en questionnement pour quelqu'un qu'elle venait de rencontrer. Même s'il lui avait sauvé la vie? Est-ce que chaque personne qu'elle avait sauvé dans sa vie avait remis la sienne en question pour elle?

Eva observa les dernières traces d'humidité quitté la pièce et bientôt elle frissonna. Elle ramenna ses deux bras contre elle pour garder sa chaleur corporelle.

-Alex.. je crois qu'il vaudrait mieux que je rentre chez moi.. il.. il va s'inquiéter.

La médic n'arrivait pas a prononcer son nom ni dire qu'IL était son compagnon... Malgré elle, elle remettait tout en question.

-Prend pas la peine de venir me porter, je vais me débrouiller. C'est toujours ce que j'ai fait.

La jeune femme se redressa et donna un baiser sur la joue du bricoleur. Elle fit un sourire navré et d'un pas incertain elle se dirigea vers la porte de la salle de bain.

-Je reviendrais, lorsque j'aurai fait du ménage dans ma vie... merci d'exister, jme sens moins seule..

Eva se dirigea vers la porte pour quitter. S'il la laisse partir elle appellera Arès sur sa radio courte fréquence s'il lui demande de rester elle restera afin de l'écouter.