Nicolas Anderstone -Validé

.TOP SECRET.

Typiquement le genre de personnage qui peut déclarer avoir les mains pleines de pouces. Sans blague.  On peut comprendre qu'il cache une grande partie de son corps avec de vieux bouts de tissus rafistolés ensemble qui donne l'impression d'avoir une cape sur lui. Comme les vieux méchants des comics des années 2000. Est-ce volontaire? Il n'en serait pas étonnant. Nicolas a visiblement perdu quelques brides de moralité et s'est échu dans la folie, il a bel et bien connaissance de son apparence hideuse et il en prends bien soin.

Autrefois, il était vraiment un bel homme....










Mentalité avant sa mutation :


Mentalité après sa mutation :
Autrefois étant un bon homme, sa mutation l'a atteinte au delà de son physique; elle aurait atteint quelques cellules de son cerveau, altérant sa façon d'analyser, un peu comme le ferait l'usage excessif de drogues. Néanmoins, cela lui permit d'alléger son quotidien, acceptant même son apparence physique qui le révulsait autrefois. À cause de son physique incapacitant, il abandonne son rôle de soldat et garde de nuit pour devenir un simple messager. Non pas qu'il est un bon espion, mais il adore tout simplement être au courant de tout... Comblant, d'une certaine manière, son isolation et sa condition de vie précaire.  Il aime beaucoup faire peur, se donner en show. Sa voix est devenue nasillarde avec le temps, et ses mouvements saccadés lui donne vraiment un air de personnage de comédie. Est-ce qu'un jour les gens du Districts retrouveront ce bon vieux Nico ? C'est à suivre...

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On pourrait historiquement parler du mini baby-boom qu'il y a eut en 2080 et les quelques années suivantes. Ces années, après que la guerre soit terminée, où les gens constataient l'étendu des dégâts sans deviner que leurs calvaires n'étaient pas terminé. Une période où les gens voulaient donner une dernière chance à la naïveté avec des bedaines remplies d'espoirs. C'est donc dans ce contexte que notre Nicolas est né, le 10 Octobre 2086, soit 6 ans après la fin des attentats.


Le mois d'Octobre dans le District 6, selon les anciens qui étaient encore vivants en 2080, c'étaient un peu comme les caraïbes du temps d'avant la guerre, avec une eau plus brune que bleue. Une chaleur étouffante pesait en ces lieux, qui écrasaient chaque individus, les rendant amorphes. Comme l'eau se fait déjà plus rare, on conseillait à chaque citoyens d'éviter de dépenser de l'énergie inutilement. En ce 10 Octobre, les gens du coin redoutaient déjà l'accouchement de Marie-Ange, l'étrange Québecoise qui tentait encore de parler son dialecte en une Terre purement Anglaise. Marie-Ange, s'était elle qui ne voulait pas abandonner les anciennes traditions. Elle disait que ça permettait de ne pas oublier d'où on vient. Ses voisins trouvèrent tellement qu'elle n'était pas soucieuse du sort de ses concitoyens, qu'ils devinrent jaloux de son petit bonheur et la méprisaient ouvertement. La plupart étaient même prêts à la laisser se débrouiller toute seule avec ses travaux, malgré la température infernale qui pouvait la faire mourir à tout moment. Mais c'est avec un sentiment de gêne, voir de honte que quelques femmes du coin se rendirent au taudis de l'étrange lorsque les bruits de sa plainte se firent entendre. Un vieux médecin est venu aussi aider à accoucher Marie-Ange. La pauvre, c'est avec toute l'énergie de son être, dans un affreux mix de sueur et d'humidité que son petit est né.


Personne ne fut étonné d'apprendre que l'enfant portant un nom ancien. Nicolas, il se nommait. Comme la Marie-Ange hésitait sur l'identité du père, elle décida de lui donner son propre nom de famille Originellement Anderson, le nom est devenu Anderstone à cause de son père qui allait à la guerre complètement gelé. Pas nécessairement une fierté, mais au moins c'est comme ça qu'on le reconnaissait.


Les années passèrent et il y avait beaucoup d'ouvrage à faire. On se rend vite compte que la vie ne serait pas aussi facile que ce qu'on aurait voulu croire. La construction des fortifications allaient de bon train, les gens partaient à la recherche de morceaux pratiques dans les ruines des édifices pour les réunir dans le seul et même endroit. On passait prioritairement les nécessités de la protection du groupe avant le confort personnel de chacun. Si des objets disparaissent trop fréquemment, ou si quelqu'un semblait cacher des objets qui pourraient aider la construction des fortifications, il était fortement réprimandé et rapidement banni. Valait mieux participer. Le petit Nicolas, lui, il est jamais allé à l'école. Avec ses amis, ils participaient aux recherches d'objets dans les ruines. Bien entendu, il n'allait jamais bien loin et jamais dans les zones à risques. De plus, la naïveté des enfants faisaient le bonheur des dirigeants. C'est comme ça que ceux-ci purent mettre la main sur des génératrices ou des outils vraiment utile et rare. Les jeunes étaient plus de confiance que certains adultes.


La mère de Nicolas, toujours vivante et en pleine forme, était une véritable bricoleuse. Même avec presque rien, elle était capable de bidouiller une surface de travail pour la cuisine et un endroit ou manger. À cause de ses compétences, plusieurs la soupçonnèrent de voler ou de cacher des objets importants pour en arriver à de tels résultats. Ils avaient partiellement raison, puisque c'étaient des outils anciens qui appartenaient à sa famille. Bien cachés, elle n'a jamais voulu s'en départir et personne ne connaissaient leurs existences. C'est un cas qui arrivaient souvent dans bien des familles. Lorsque Marie-Ange est arrivée à New-York, elle avait fait bien attention de cacher ses choses extra-importantes dans un panier sous sa jupe, qui n'ont pu être fouillés dans ses sacs à son arrivée.


Puis, les gens devenaient de plus en plus malades. Sa devait faire 10 ans que les citoyens vivaient un genre de semblant de paix et les radiations, sa faisait pas du bien à personne. Autour du petit Nicolas, plusieurs personnes mourraient et d'autres devenaient vraiment horribles. Il avait l'impression de vivre l'enfer, un cauchemar continue où les monstres et les créatures fantastiques existaient pour de vrai. Il avait peur de sortir à l'extérieur, il y avait plusieurs vilains monsieur qui arboraient des logos étranges et qui émanaient un sentiment de peur. Rien pour l'aider, en plus il remarquait que certains de ses amis changeaient pour devenir de vrais monstres animaliers. Il avait peur d'eux, mais il ne voulaient pas qu'ils meurent. La plupart d'eux ont été exilés, ou du moins, le petit Nicolas n'a pas plus eu de leurs nouvelles.


Il a été chanceux, Nico, d'avoir pu profité de sa jeunesse aussi longtemps. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Il avait un petit emploi d'exploration, qu'il prenait de façon vraiment relax. Les moments qu'il s'arrêtait à un endroit, loin de tout le monde, s'assoyait et il réfléchissait.


Au fait, cette surface, Nicolas l'as souvent côtoyée. Il a été chanceux, du moins jusqu'à aujourd'hui, de ne pas avoir été touché par les radiations. Comme il a passé son enfance à l'air libre, cela aurait du causé une mutation chez lui. Car, même sa mère a fini par muter. Ce n'était pas joli à voir, mais cela faisait déjà un moment que Nicolas était préparé aux horreurs de la mutation. La peau de Marie-Ange commençai à prendre une apparence visqueuse et verdâtre et son nez était en train de tranquillement à décoller ainsi que ses oreilles. Cette ancienne belle femme perdait ses cheveux et ses ongles prenaient une drôle de couleur noirâtre. Nicolas aimait sa mère et il était courageux de s'occuper d'elle. Il commençait déjà à perdre cette innocence que sa mère avait tant veiller à se qu'il garde. Lorsque sa mère fut atteinte, il n'avait plus peur des mutants, mais un sentiment de tristesse s'emparait de lui. Comme il aurait voulu connaître le temps d'avant-guerre ! Sa mère, qui elle même n'a pas connue cette époque, se contentait de lui raconter de vieilles histoires de la vie d'avant, qui lui permettais de rêver un peu chaque soirs à retrouver un peu se qu'étais jadis son passé au travers des objets multiples des fouilles.


Nicolas est quelqu'un à la base qui était plutôt tranquille. Il eut une copine, une fois. Une vraie, pas juste quelqu'un que l'on fréquente comme sa, dans le but d'avoir du sexe. Elle s'appelait Adéna. Un vrai ange venu du ciel, quelqu'un qui lui permettait de trouver la vie moins dure. Elle était là lorsqu'il devait s'inscrire pour l'armée. Pour l'encourager. Car il était maintenant à l'âge de faire ses 2 ans de services. Une personne pour être à ses cotés, qui se souciaient de lui et de sa mère était le plus beau cadeau qu'il n'aurait jamais pu espérer de mieux. Ce fut un moment tellement dur pour lui. Il n'aimait pas perdre cette liberté dont il jouissait de son ancien emploi.


L'armée, au début, il détestait mais à la longue il a fini par s'y plaire lorsqu'il a finalement compris les rouages du système. C'est justement là qu'il découvrit le plaisir malsain de fumer et de boire. Un service dur à rendre puisqu'il n'existe plus vraiment d'entreprises qui en produisaient mais, c'était souvent la fête lorsqu'on déballait une cargaison pleine issue d'un ancien commerce de la surface. Nicolas changeait beaucoup dans l'armée. Il devenait moins soucieux, plus égoïste que jamais. Il évitait de rendre visite à sa mère, la sachant entre de bonnes mains. Il alla plutôt boire entre copains et s'amusait comme il ne lui ai jamais arrivé. Puis, sans rien comprendre, la coupure se fit. En revenant chez lui, saoul, il découvrit le corps de sa mère inerte avec une lettre sur sa poitrine qui disait :


Je ne suis pas là pour être ton esclave alors que tu t'amuses. J'ai ma vie. - Adéna


Il ne la plus jamais revue. Elle devait avoir changé de District.


- Pour faire comprendre un peu se qui viens de se passer, c'est qu'Adéna, en bonne fille qu'elle est, a passé quelques années sans avoir de nouvelles de Nicolas et à s'occuper de sa mère. Lorsque pour elle lui vint la possibilité d'avoir une vraie vie, elle décida plutôt de rester pour l'homme qu'elle aimait jusqu'à ce qu'elle apprit qu'au lieu de faire son métier sérieusement, que Nicolas s'amusait plutôt avec ses copains, sans jamais venir les voir, elle et sa mère. C'est donc pour sa qu'un beau jour, Adéna est partie sans aucun reproches en laissant la mère de Nicolas mourir de faim et de soif. -


Il a resté là. planté comme un con à réaliser à quel point il venait de rater sa vie. Et qu'il allait continuer, parce qu'en même temps, il en voulait à Adéna et au monde entier. Personne ne se soucierait de lui. Il n'a jamais été aimé de toute façon hormis sa mère. Être descendant Québecois, s'était beaucoup trop nul. Il resta cloitré avec le cadavre de sa mère pendant quelques jours, jusqu'à se que quelques soldats de l'armée le retrouve. Il n'a plus jamais été le même, après cela. Même si plusieurs lui racontèrent que c'étaient déjà un véritable miracle que sa mère ait resté en vie aussi longtemps avec une mutation en plus, il n'était plus en paix avec lui-même.


Après ses deux ans de service, il fut promu Soldat. La vie continuait son cours, il fit sa première rencontre zoo lors de sa première sortie hors de la ville. Il avait environ 25 ans. L'équipe devait intervenir pour contrôler l'individu qui tentait de percer le dogme de la citée. C'était un requin-morph. Dans cette altercation, Nicolas perdit malheureusement ses deux bras. Il a été rescapé de justesse par un médecin qui lui a prodigué des soins avant de se rendre à l'hôpital. L'homme-animal a été abattu.


Comme Nicolas avait de bons liens, l'armée réussit à lui dégoter des bras mécaniques avec des restants de vieux métaux fixés et câblés directement relié avec son cortex cervical. L'opération fut douloureuse, mais fut un succès. Il fut l'un des premiers à subir les tests de la nouvelle technologie renouvelée ( Environ quand il avait 26 ans, sa fait 12 ans qu'il a eu les bras ). Ses bras ne sont pas très fluide et ne répondent pas à l'appel très rapidement. Pour compenser , Victor s'entraîna donc d'avantage avec ses jambes et appris à utiliser ses pieds comme s'il s'agirait de mains. Il appris donc à profiter de la lenteur de ses bras pour se spécialiser en armement.


Il obtient à l'age de 27 ans un emploi comme Garde de Nuit qu'il occupe toujours présentement.

C'était un jour banal comme les autres. Rien ne laissait présager que cette journée allait changer le cours de son existence en tant que garde. C'était du coin de l’œil qui aperçut la présence d'une jeune fille à la chevelure de feu dans les quartiers militaires. Nouvellement arrivée, il lui proposa donc de lui faire la visite du District, c'était une occasion particulière, on ne reçoit presque plus de nouveaux gens au depuis des années!  

Riki était plutôt jeune et n'avais rien d'une princesse. Ce côté plutôt Tomboy avait bien charmé le milicien, qui n'avait rencontré personne d'autres depuis qu'Adéna avait quitté sa vie, abandonnant sa mère dans d'atroces souffrances. Disont qu'il n'était pas très ouvert au développement de relation avec une autre personne, encore moins avec une jeune adulte fraîchement sortie de l'adolescence. C'était donc par insouciance qu'il ne s'est laissé approché par cette mécanicienne et qu'ils apprirent à se connaître et à l'apprécier à ses dépends.

Ils visitèrent donc le quartier, traînant dans le Souk. Du à un événement impromptu de négociations avec un marchand, ils tombèrent sur une zoomorphe du nom de Yael Mykri et Kateryne Champsfleury.

Cette dernière s'était bousculée, laissant perdre ses protections. Sa chute entraîna aussi la perte des membres robotisés de Nico, ce qui amena tout se beau monde au QG de la milice pour vérifier l'état de santé de Katherine et de remettre d'aplomb les bras de Nico. Ce fut Yael qui s'occupa de l'état de santé de l'humaine, ce qui lui laissa une porte ouverte sur l'appréciation des demi-animaux. Durant ce moment, les 4 personnes ce sont beaucoup rapprochés, ils finirent par devenir amis.

Avec le temps, il devint vraiment proche de Riki, mais il n'eut pas le temps de dévoiler ses sentiments. Il était au courant de ses questionnements et des manipulations que les hauts dirigeants pressait sur elle pour devennir une marionnette de l'Inquisition. Il essaya de la raisonner et se promit de l'aider dans sa démarche, ce qu'il ne fit pas à cause de son pic de mutation.

Il rencontra une dealer du nom d'Ophélia, avec qui il eut quelques intempéries avec un zoopmorphe obscur auquel il est passé à deux doigt de se faire attaquer.  Celle-ci se proposa pour le rencontrer, il apprit à connaître un peu cette dame, auquel ils partagèrent communément une passion pour l'autre temps d'avant guerre.

Il savait qu'un jour ou l'autre que les radiations allait avoir raison de lui. Il s'en était sorti durant toutes ces années, sans trop faire attention. Sa peau commençait tranquillement à s’égrainer, il passa plusieurs mois dans d’atroces souffrances, désirant ne voir personne.  Cette lente et douloureuse mutation l'avait rendu associable, il ne voulait pas que des gens le voient dans cet État. Il commençait  à se développer une haine envers les gens.

C'est un soir ou il eut envie de sortir. Un homme l'aperçut et se mit à sa poursuite. C'est ainsi qu'il rencontra Twigg et revit Ophélia, qui fut la première à constater sa transformation.

Son état ne s’améliorant pas, il décida de faire sa registration à l'Inquisition.

On ne le revit plus pendant des années. Il garda en lui des remords de son ancienne vie, bien cachée au fond de son cœur. Il devint de plus en plus associable, ne s'intéressant uniquement à sa collection de choses de l'ancien monde. Il se construit un espace, caché de tous ou il s'y enferma. Il commençait à avoir des hallucinations de sa mère, qui devint avec le temps pour lui une réelle personne que lui seul peut voir. C'était son moyen de contrer l'isolement. On dirait qu'autrement, les problèmes des mortels de l'intéressait plus. Il se sentait tellement différent, tellement dans un autre degré d'existence. Il se considérait comme un monstre d'un autre plan, d'une autre existence et tenait son rôle très à cœur. Il se bricola une garde robe à l'image de sa personnalité. Il tomba un jour sur d'anciens messages qu'il avait rédigés anonymement pour les citoyens de la ville et cela lui donna une idée. Nico avait une passion secrète pour l'écriture et mettre les gens au courant de l'actualité sans que personne sache son identité était un rôle qu'il avait tenu pendant ses années humaines.  Le mutant ricanait, il avait une idée de génie! Il ressorti ses vieilles paperasses, se demandant quoi écrire. Il n'avait rien sous la dent. C'est ce qui l'amena à sortir de sa hutte, et retourner à la rencontre des gens … Question de se divertir un peu.
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Moments pertinents de son évolution sur CFFT.

Nouvellement arrivée

Marche dans le souk

En attendant les soins de boucle brune

Chez Nicolas Anderstone


Il fait noir dans les rues

Une chope pour oublier

Au resto toubibe

Ombre de lui-même

Seul et contre tous

Au delà de l'apparence
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Validé bon retour parmi nous